Le 21 mai 1941, le cuirassé « Bismarck », le plus moderne des navires de guerre allemands, était repéré à Bergen, en Norvège. Trois jours après, il disparait. La Home Fleet tout entière prend la mer, la chasse s’organise.
Mais le « Bismarck » est terriblement dangereux ; il coule dans l’Atlantique le cuirassé « Hood » ; le « Prince of Wales » est mis hors de combat et le « Bismarck » disparaît à nouveau. Alors, dans cette lutte à mort, l’aviation, sous le ciel bouché, intervient pour le rôle décisif. Elle retrouve le « Bismarck », le harcèle et le blesse. Ralenti, repéré, il est bientôt la proie de toute la meute britannique rassemblée qui le coule alors qu’il ne reste plus aux Anglais que quelques heures de mazout.
Ce récit d’un intérêt historique et technique exceptionnel se lit comme un roman policier. L’enjeu de la bataille, c’était la sécurité des convois, la maîtrise de la mer. Ayant mis le « Bismarck » hors de combat, l’Angleterre peut régner à nouveau sur l’Atlantique.