En soixante-cinq ans, c’est sur une centaine de terrains que l’auteur s’est posé avec une cinquantaine d’appareils d’Aéro-clubs.
Son parcours est jalonné de rencontres aéronautiques comme Pol Desselas, Alain Brossier, Jean Eyquem ou plus récemment Bernard Chabert ; et de références comme Louis Mouillard, Henri Farman ou Antoine de Saint-Exupéry qui auraient fait comme lui les Beaux Arts.
Dans ce carnet de vols, il dévoile aussi ses prétextes à voler pour voler ; sans raison, sans destination ou même parfois sans cap quand il livre un Jodel aux spirales du Beau Danube Bleu, entre les cumulus de beau temps.
Il confesse éprouver le même plaisir entre les pleins et déliés de son l’écriture. Pas trop technique, elle serait aérienne et sans culte immodéré de la concordance des temps ou de la ponctuation.