Fermeture estivale du 1er août inclus au 22 août 2023
Plutôt qu’un adieu aux armes, l’écrasement brutal de la Pologne en 1939 ouvre un chapitre nouveau de son histoire. C’est donc celui de la poursuite du combat depuis l’étranger.
En ces jours sombres, la France cristallise tous les espoirs de la Pologne. Car cet allié historique ne dispose-t-il pas de la meilleure armée du monde ?
À la tête du gouvernement en exil, le général Sikorski met sur pied une armée. Celle-ci est composée de 80 000 hommes dotés d’une composante terrestre, aérienne et navale. On engage une brigade de montagne en Norvège. Deux divisions luttent sur la ligne Maginot et dans le Clos du Doubs ; une brigade blindée se replie avec les armées de Champagne. Des
unités plus modestes combattent dans le réduit breton et jusqu’aux confins du territoire national, tandis que les aviateurs contestent l’espace aérien.
Des cabinets feutrés aux champs de bataille tragiques, ce livre retrace les efforts politiques et militaires déployés par les Polonais entre la défaite de leur pays et celle de la France. Car comme remarquait le général de Gaulle, au cours de l’histoire, “le succès ou le malheur de l’un ont toujours été liés au succès de l’un ou au malheur de l’autre.”
HISTOIRE DE L'ARMEE POLONAISE EN FRANCE 1939-1940
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